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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 18:24

 

 

portee-mus-jpg

 

 

 

 

Voici un exercice qui m'a été demandé par quelques élèves désirant travailler le legato dans l'aigü. La tessiture présentée convient pour les vois élevées. Pour les autres, commencer l'exercice une tierce ou une quarte plus bas.

La consonne est laissée  au choix du chanteur: v,  r, m, g,...(va...)

La voyelle peut ne pas convenir à l'approche du suraigü; on peut remplacer le "a"  par "é" ou "è". La repiration après le point d'orgue n'est pas toujours indispensable. C'est selon chacun.(à bientôt pour d'autres exercices)

 

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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 13:12

concert église2A l'occasion de la Messe de Minuit à l'église Saint Paul de Perpignan et de la Veillée Pascale à la Cathédrale d'Elne, j'ai eu la joie de chanter le Minuit Chrétien et l'Exultet. Pour Noël, l'église moderne était pleine mais l'acoustique détestable comme bien souvent dans ces vaisseaux de béton à la sono hypertrophiée. Et qui plus est, ne peut servir dans ces conditions. Pour la Veillée Pascale, par contre, l'acoustique de la cathédrale étant excellente, c'était un véritable plaisir. J'ai mesuré la chance qui m'était faite de pouvoir chanter dans ce lieu et à cette occasion festive. Est-ce une mode, un parti pris, de ne plus programmer dans nos églises que des chants écrits en vers de mirliton et sur des partitions à la pauvreté affligeante?

En 1992, Monseigneur Gaidon Evêque de Cahors écrivait:" Il s'agit de concevoir une liturgie accessible à tous sans sacrifier à la facilité". On pourrait dire, on devrait dire: à la médiocrité. On se plaint aujourd'hui que les églises soient vides et que les évêques en soient réduits à inviter leur diocèse tout entier à des manifestations religieuses pour faire illusion et essayer de faire croire  qu'il leur reste encore quelques ouailles. Pourtant, lors des rassemblements estivales de communautés charismatiques ou autres, les nefs sont pleines et l'on voit les fidèles chanter à pleine voix des textes aux mélodies inspirées nourries d'Ecriture." Il n'en faut pas plus pour faire jaillir la prière en une célébration qui marque pour longtemps le coeur, l'esprit et les sens de tous les chercheurs de Dieu."

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 19:32

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1. Ingemisco    2. O suave fanciulla  3. Salut final   4. Un trio de copains devant la chapelle St.Julien

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 19:09

portrait PrezmanMichel Prezman

 

Michel Prezman a fait ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans les classes de Pierre Sancan, Geörgy Sebök, Geza Anda, Henri Challan, Jean Hubeau, Jacques Février, André Jolivet, Henri Dutilleux et Olivier Messiaen. Il y obtint un premier prix de piano à l’unanimité du jury avec la mention « élève le plus remarquable » et un premier prix d’harmonie. Ses compositions sont très variées : musique de films ou de documentaires, ballets, musique de chambre, transcriptions ou arrangements d’œuvres du répertoire, de musiques traditionnelles et de negro-spirituals. Il a, en tant que pianiste, donné de nombreux concerts en France et à l’étranger dans des formations très diverses (duo de pianos, notamment avec Marek Tomasewski, musique de chambre, piano et orchestre, voix et piano). Il a obtenu de grands succés dans plusieurs festivals français et étranger toujours en duo avec Marek Tomasewski. Il a été répétiteur-accompagnateur de différentes classes de chant et de chœurs à Nice, Aix-en-Provence et à Cannes, où il a enseigné le piano au conservatoire de musique. Il enseigne actuellement l’accompagnement pianistique au Conservatoire de Perpignan. Habitué des scènes régionales, il accompagne régulièrement avec brio des récitals de cycles lyriques et de mélodies.

 


portrait LecornecArielle Le Cornec

 

Soprano lyrique à la voix colorée et brillante, Arielle Le Cornec est médaille d’or 2007 du Conservatoire de Perpignan où elle étudia le chant avec Danièle Perriers. Finaliste de nombreux concours nationaux, elle fut soliste dans la missa Solemnis de Liszt, dans la Passion selon saint Jean de Jean Sébastien Bach ainsi que dans son Magnificat . A l’opéra elle incarna une gracieuse Clotilde dans Norma, Miss Helen dans Lakmé et une accorte Suzanne dans les Saltimbanques de Louis Ganne. Elle est aussi une concertiste passionnée interprète à la fois des grands airs ou de délicats cycles de mélodies. Sa voix au timbre clair, capable des plus délicieux pianissimi ne flanche pas dans les grands aigus lyriques du répertoire. Sa présence scénique est indéniable et elle sait avec un art consommé captiver les auditeurs les plus exigeants.


Voir photos au n° XI

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 18:26
L'Indépendant du 7/10/09:

img001En ce dernier Samedi  soir de septembre, l’ « Atelier Vocal » a donné son concert lyrique à la Chapelle Saint Julien. Cette année il s’intitulait  « Musiques sacrées et Opéra». Dans ce cadre exceptionnel, trois artistes, la soprano Arielle Le Cornec, le ténor Philippe Louvet et le pianiste Michel Prezman ont donné une performance hautement professionnelle et pleine d’émotions musicales.(Donna non vidi mai; E lucevan le stelle; Un di all azzuro spazio; Occhi di fata) Les deux parties du programme (Musiques sacrées et Opéra) leur ont donné l’occasion de nous faire entendre différents aspects de leur talent car il est évident que ces deux formes de musique ne s’approchent pas vocalement de la même façon. A la fin du concert, un auditeur emballé, Jean Picart, spectateur habitué des grandes scènes lyriques, notamment du Métropolitain de New York, nous fait part de ses impressions.

- Que pensez-vous, Jean de la prestation des artistes ? - La soprano Arielle Le Cornec,  a une belle voix, claire, transparente et mélodieuse. Que ce soit dans le pianissimo d’un Schubert ou l’exaltation d’un air de Puccini, son timbre s’adapte parfaitement. On avait déjà entendu le ténor Philippe Louvet au même endroit l’année dernière. J’ai eu l’impression que sa voix était encore plus puissante et son expression encore plus colorée. L’émotion qu’il a pu donner à ce chant traditionnel araméen : « Kaddish », était très émouvante, tandis que son« Nessun Dorma » était d’une bravoure de grand ténor. Quant au Pianiste Michel Prezman, il a brillamment accompagné ces deux artistes avec le flegme d’un maître qui vient d’être primé aux Music Awards. Son seul solo de la soirée : « Impromptu No 5 de Fauré » nous a donné un exemple de sa maîtrise et de sa sensibilité. En résumé, un excellent concert Dommage que la salle était loin d’être comble. .

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 18:21


Concert du 28 septembre 2009 à la chapelle Saint Julien

   

Première partie

 

Laudate Dominum   sur le Largo : air d’entrée de Xerxès                            G.F. Haendel (1685-1759)

 

« Ô nations, louez toutes le Seigneur, ô peuples, célébrez tous sa gloire.

Parce que nous sommes l’objet de sa miséricorde

Et la vérité de ses promesses demeure éternellement.

 

Ave Maria   Air pour soprano                                                                          F. Schubert (1797-1828)

 

Ce célèbre et très priant Ave Maria fut écrit sur un poème allemand adapté au latin de manière apocryphe.

C’est en réalité l’un des trois chants d’Ellen dans « la dame du lac » de Walter Scott.

 

Ingemisco      Solo pour ténor extrait du Requiem                                                 G. Verdi (1813-1901)

 

« Je gémis comme un coupable, la faute fait rougir mon front. Pardonne, Seigneur à celui qui T’implore.

Toi qui as absous Marie-Madeleine et qui as exaucé le bon larron, à moi aussi Tu donnes l’espérance.

Mes prières ne sont pas dignes d’être exaucées, mais Toi, fais que par ta bonté je ne brûle pas au feu éternel.

Accorde-moi une place parmi les brebis et sépare-moi des égarés en me plaçant à ta droite. »

 

Höre Israël     Oratorio Elias                                                                   F. Mendelssohn (1809-1847)

 

“Ecoute Israël, le Seigneur est notre Dieu, le Seigneur est un. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes forces. Que les paroles que je te prescris soient aujourd’hui sur ton cœur. Tu les répèteras à tes fils et tu les diras quand tu es assis dans ta maison et quand tu marches sur la route, quand tu es couché et quand tu es debout. Tu les attacheras en signe sur ta main et elles seront en bandeaux entre tes yeux. Tu les écriras sur les linteaux de ta maison et sur tes portes. »

 

Kaddish                                                                                                              Traditionnel. araméen

 

«  Que soit glorifié et sanctifié le nom très grand du Seigneur dans le monde qu’Il a créé selon sa volonté. Que son règne vienne pendant votre vie au long de vos jours et pendant la vie de toute la maison d’Israël. Et nous disons : amen. Que soit béni son grand nom pour toujours et de toujours à toujours. Son nom très saint, qu’Il soit béni, glorifié et exalté, honoré, adoré et loué au-dessus de toutes bénédictions et de tous cantiques, de toutes louanges et consolations qui ont été dites dans le monde. Et nous disons : amen. Que soient reçues les supplications et les prières de tout Israël en présence de son Père qui est au ciel. Et nous disons : amen. Que la grande paix des cieux et la vie soient sur nous et sur tout Israël. Que Celui qui fait la paix dans les cieux la fasse sur nous et sur tout Israël. Et nous disons : amen.

 

Ave Maria   Prière de Desdémone extraite d’Otello  Acte IV                              G. Verdi (1813-1901)

 

Ave Maria, pleine de grâce, tu es élue parmi les femmes et les vierges. Que soit béni le fruit de tes entrailles maternelles, Jésus. Prie pour qui, en adoration se prosterne devant toi, prie pour le pécheur, l’innocent, à la fois pour le faible, l’opprimé et le puissant, malheureux lui aussi. Démontre ta pitié. Prie pour qui ploie sous l’outrage, le front et sous le mauvais sort. Que pour nous tu pries toujours, toujours et à l’heure de notre mort. Prie pour nous ; Amen.

 

Ô souverain, ô  juge, ô Père   Prière du Cid  Acte III                                J. Massenet (1842-1912)

 

L’armée des Maures encercle le camp de Rodrigue. Les soldats du Cid sont inquiets ; le sort leur semble contraire et l’issu de la bataille est incertain. Rodrigue s’agenouille devant sa tente et adresse à Dieu son émouvante supplique. Il sera entendu et exaucé.

 

 

 

Deuxième  partie

 

 

Adieu notre petite table  air de Manon : Acte II                                            J. Massenet (1842-1912)

En ciselant le portrait psychologique de Manon, Massenet a offert un rôle exceptionnel aux sopranos coloratures possédant aussi une vraie présence dramatique.

 

Addio, fiorito asil  air de Pinkerton  Madame Butterfly : Acte III                        G. Puccini (1858-1924)

L’opéra se termine. Cio-Cio-San, rejetée par les siens a tout perdu : son amour et bientôt son enfant. Pinkerton, bouleversé par le remords, comprend enfin l’étendue du désastre qu’il a provoqué. «  Adieu asile fleuri d’allégresse et d’amour ; Partout, je reverrai toujours son doux visage avec un atroce déchirement. »

 

O suave fanciulla  Duo Mimi-Rodolphe  La Bohème :  Acte I                             G. Puccini (1858-1924)

Mimi, petite cousette et Rodolphe le poète se sont rencontrés dans leurs mansardes d’étudiants sous les toits de Paris. Dans l’obscurité de leur grenier ils s’avouent leur amour. «  O délicieuse  jeune fille, o douce vision éclairée  par la lune

─ Ah ! Amour, tu es mon seul maître ...─  Dis-moi que tu m’aimes. »

 

Recondita armonia Air de Mario Cavaradossi  Tosca : Acte I                            G. Puccini (1858-1924)

Dans l’église Saint André de la Vallée, le peintre Mario Caravadossi, juché sur son échafaudage peint une Marie Madeleine qui ressemble étrangement à une belle inconnue qui vient discrètement prier chaque jour dans l’église. « O d’égales beautés, dissemblance féconde ! Brune est ma Floria, mon ardente maîtresse ! et toi, douce inconnue, ta chevelure est blonde ! Mais Tosca, tout de même, c’est toi seule que j’aime, Tosca, c’est toi ! »

 

Tacea la notte placida   Aria de Léonore  Le Trouvère : Acte I                      G.Verdi (1813-1901)

Jamais, peut-être, Verdi n’avait encore concentré en un seul air tant de poésie lyrique, tant de sensibilité aristocratique. Leonore s’adresse à sa confidente Inès et lui partage son émotion d’entendre monter pour elle, dans la nuit, le chant du Trouvère :

 « Ecoute ! La nuit paisible se taisait, quand dans les airs jusqu’alors silencieux, montèrent doux et plaintifs les accords d’un luth, et un trouvère chanta . Je courus au balcon…C’était lui !

 

Ch’ella mi creda libero  Air de Dick Johnson  la Fanciulla del west : Acte III     G. Puccini (1858-1924)

Le bandit Dick Johnson a été capturé et va être pendu haut et court. Avant de mourir il chante son adieu à la vie et à l’amour. L’action se passe au Far West dans un camp de mineurs. Puccini réhabilite le soi-disant »méchant » qui demande que son amoureuse Minnie, ne soit pas mise au courant de son destin : «  Qu’elle me croit libre et loin d’ici, sur un nouveau chemin de rédemption !... Elle attendra mon retour et les jours passeront mais je ne reviendrai pas. Minnie, seule fleur de ma vie. »

 

Quando m’en vo soletta  Valse de Musette  La Bohème : Acte II                 G. Puccini (1858-1924)

La célèbre valse de Musette est un air de coquetterie ultra célèbre qui a été chanté par tous les grands sopranos du monde. «  Quand je flâne, seulette au long des rues, on  s’arrête, on  me regarde, et je savoure alors le désir insidieux qui brille dans les yeux. La vague du désir m’enveloppe toute entière et me réjouit ! Et toi qui sais et te souviens, pourquoi m’ignores-tu ainsi ? »

 

Nessun dorma  Air de Calaf   Turandot Acte III                                                G. Puccini (1858-1924)

 Concis, ramassé, définitif, cet air est la quintessence de l’aria de ténor puccinien dont il possède tout le brillant sans aucune complaisance.(Jean Cabourg) : «  Que nul ne dorme ! et toi aussi, princesse, dans ta chambre glacée, tu regardes les étoiles trembler d’amour et d’espérance ! Mais en moi mon mystère est scellé : Dissipe-toi, ô nuit, à  l’aube je vaincrai ! »

 

Parigi, o cara  Duo Violetta-Alfredo  Traviata Acte III                                      G.Verdi (1813-1901)

Violetta, seule et minée par la maladie, est à l'article de la mort. Elle se désespère. Mais Alfredo réapparaît et, aussitôt, ils tombent dans les bras l'un de l'autre. Oubliant la mort qui rôde, ils chantent que rien ne pourra les séparer et font des projets d’avenir : « Nous quitterons Paris, ma bien-aimée, et toute la vie nous la passerons ensemble. Ta santé refleurira. »

 

 

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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 19:19

ronds-points 034A l'occasion d'une cérémonie "républicaine" de baptême de ronds-points dans mon village à Villeneuve de la Raho le 4 avril 2009 et en présence  d'un général, un ministre, un préfet et un sous-préfet et de notre Députée-Maire Jacqueline Irlès,  j'ai eu le plaisir et l'honneur d'interpréter deux couplets de la Marseillaise qui ont été fort applaudis ; ce qui vaut mieux que les sifflets du stade de France... c'est bien agréable de faire le si bémol sur le dernier "sang impur" abreuve nos sillons.

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13 mars 2009 5 13 /03 /mars /2009 08:36

Cher Philippe,

Ton passage a vraiment fait du bien... et nous nous sommes réunis aujourd'hui, entre chantres, pour voir comment entretenir et encourager tout cela à Saint Martin.

Encore un grand merci !

En communion de prière.

Anne de Jésus

 
Cher Philippe,
Merci pour ton mail, et le diaporama qui l'accompagne.
Et merci surtout pour ta venue parmi nous et tous les encouragements que cela nous a apportés.
Hier, à la messe, je peux te dire que "ça chantait" !!!
A la joie de te revoir et en communion de prière.
Anne de Jésus

Bonjour, Philippe!

Juste un petit mot pour dire merci pour ta visite à St. Martin.  Je vois déjà les fruits de tes conseils pratiques: dans le chant, dans mes visites et pour moi-même personnellement!!

May the Good Lord bless you!Un grand bonjour à ta femme, Catherine.  

 See you,

 Claire.


Salut Philippe , 
Ton blog me parait de "bonne facture" .  Le décor est sympa et toi tu es beau comme un soleil !   Il ne te reste plus qu'à rajouter des photos de tes concerts !
Bises à vous deux
Michel


 Félicitations, c'est superbe !
bien contents de savoir que tu te produis  souvent et avec succès
lundi prochain, nous fêtons les 90 ans de pierre labadie, il a arrêté la chorale l'année dernière, tout le monde étant vieillissant, mais ça a été une belle aventure
il a donné il ya 2 ans son requiem somptueux et émouvant, nous hurlions de joie dans l'église
affectueusement à tous les 2.



Bonjour Philippe,

 Très beau blog et bien documenté.

 Rien à dire, si ce n’est que de continuer.

 Malheureusement pour moi, je n’ai pas une belle voix. Mais par contre j’aime la musique, je ne peux m’en passer, ni dans la maison, ni dans la voiture.

 Bien à toi et à bientôt.

 Hervé ORIOL



coucou Philippe, il est bien ton blog. J'ai juste une demande : je voudrais que tu enlèves la 1ère photo de moi où je suis seule, c'est la 2ème en partant du haut, car vraiment cette photo ne me plait pas.

 Bise,

Arielle

 


Salut, Philippe.

Je vais certainement manquer d'originalité, mais ton blog est remarquable !

Il incite à assister à tes représentations, mais ne pourrais tu pas y insérer quelques extraits des concerts ?

Sincèrement, c'est du bon boulot.

Amitiés.  



je suis fière de toi! quand j'aurai leurs adresses email je transmettrai aux membres de la chorale.
Cécile



Bonsoir Philippe,

 

J'ai visité ton blog c'est trés bien . Il fallait y penser même si c'était perpignan où tout se réalise avec petitesse. Je pense qu'il faut présenter le lyrique car déjà c'est un art qui se meurt en France mais pas en Autriche pays où le peuple aime beaucoup la musique ainsi que la danse (la valse viennoise). Autrefois les français aimaient aller au théatre il n'en reste rien du tout de nos jours.

Aussi c'était dans ma tête à ma retraite de monter quelque chose avec des gens valables mais voilà c'est trés difficile. Je t'en parlerais quand nous nous reverrons
A trés bientôt . Madeleine






















































































































































































































































































































































































































































































































































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9 mars 2009 1 09 /03 /mars /2009 18:26

 

http://youtu.be/v73HXr7l-l4

 

    .youtube.com/watch?v=MWzewHTcHew air de Cunégonde de Candide de Bernstein par Kristin Chenoweth

http://www.youtube.com/watch?v=qtLkjQSlE48&feature=PlayList&p=B80029069C9D9B80&playnext=1&index=20
Di quella pira du Trouvère par Yang Yang.

http://www.youtube.com/watch?v=uXjNwyJO5qY&feature=PlayList&p=3083199FA36A533A&index=0&playnext=1
E lucevan le stelle (Tosca) par Mario Del Monaco

http://www.youtube.com/watch?v=Yf4c8uREO3U Largo al factotum (Barbier de Séville) par Thomas Hampson

http://www.youtube.com/watch?v=_wUP07DVq9E La Juive: Rachel quand du Seigneur: Neill Shicoff

http://www.youtube.com/watch?v=ALK-e_j91oM&feature=related Chanson de la poupée des Contes d'Hoffmann par Sumi Jo

http://www.youtube.com/watch?v=OqEn57tVA1s Carmen: Le Toréador par Dmitri Hvorostosky

http://www.youtube.com/watch?v=p3cAUX0rBP8&feature=related duo de Don Pascuale Ernesto-Norina: JD Florès et A.Netrebko

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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 18:33

L'OPERA  ENFLAMME  LA CHAPELLE  SAINT JULIEN

 

Dernièrement,la voûte romane de la chapelle Saint Julien a résonné des accords lyriques proposés au public par l'association ORFEO avec le soutien de la municipalité, qui présentait une catalane revenue au bercail après avoir chanté  à l'opéra de Paris et sur bon nombre de scènes européennes: la mezzo soprano Marie-Thérèse Salvignol entourée de ses amis les ténors Roger Pujol et Philippe Louvet et de leur complice, la  pianiste Thérèse Sinote.

Les quatre artistes ont interprété un programme varié de mélodies méditerranéennes et de grand opéra.

De sa voix incisive et colorée, le ténor Roger Pujol a ouvert la soirée avec des extraits de célèbres zarzuelas: Bella enamorada de "el ultimo romantico" et le cheval de bataille des ténors ibériques: No puede ser  de "la tabernera del puerto".Succés assuré et enflammé.Puis Marie-Thérèse Salvignol a ciselé des chansons catalanes qui ont séduit l'auditoire connaisseur. Son timbre  tour à tout tendre, charmeur et sauvage a raconté l'histoire de el rossinyol, Damunt de tu et bien sûr du Cant dels ocells, véritable hymne du pays catalan. Après cette douce émotion, Philippe Louvet a conduit l'auditoire sur les bords de la Tyrrhénienne en interprêtant Torna Sorriento. Là, sur le superbe golfe de Naples, la chaleur de son timbre et la générosité de sa voix ont ému et enthousiasmé l'auditoire. Puis, encore des mélodies italiennes, d'amour bien sûr, le célèbre Ideale du Schubert italien Tosti et le trop rare Occhi di fata de Denza ont achevé la première partie du concert .

Le public apprécia fort la partie opéra où Mozart et Glück cotoyèrent Verdi, Puccini, Giordano et Donizetti dont les héros romantiques ont déclamé leur amour, leurs désirs, leur colère et leurs envies. Parmi ces airs fameux,  le sensible et touchant lamento de Mario à Tosca qui fit perler quelques larmes dans la salle, puis l'extraordinaire cavatine de Tonio  aux neuf contre-ut de "la fille du régiment" que nous offrit Roger Pujol suivi de l'Improvviso royal d'André Chénier que Philippe Louvet détailla avec art,  n'atteignant l'incandescence lyrique de l'aria que très progressivement; véritable leçon d'amour décochée à la salle.Comme aussi d'ailleurs l'air de Des Grieux dona non vidi mai extrait du Manon Lescaut de Puccini.Les spectateurs enthousiastes ne voulaient plus laisser partir les artistes qui donnèrent chacun un bis finissant ainsi la soirée sur une note lyrique et enjouée.Ce furent la dona e mobile, la Habanera de Carmen et la Danza de Rossini. Marie Thérèse Salvignol rendit pour finir un hommage au grand poète catalan Jordi Pere Cerdà avec une mélodie pleine de tendresse du poète sur une musique qu'elle avait composée elle-même avec Thérèse Sinote: La Padrina. Au final, une exceptionnelle soirée comme l'a souligné le maire Jaqueline Irles qui a assuré qu'elle n'avait jamais envisagé de telles prestations lorsqu'avec son conseil municipal elle avait décidé de la rénovation de la chapelle saint Julien qui semble bien avoir acquis en cette mémorable soirée ses lettres de noblesse.

 

 

 

 

 

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